La Croatie
En Croatie, on a plus ou moins fait tout ca : on a longe les cotes parce que juste a cote des cotes il y avait les montagnes et on devait epargner les pedales de Berzingue.
La mer, c'est pas mal non plus, mais n'empeche quand meme que Nicolas s'est fait piquer par un oursin au talon et maintenant il a encore plein d'epines enfoncees dans le pied.
Mais on a vu d'autres choses incroyables:
par exemple, on a vu un dalmatien avec une cravate qui mangeait un Banana Split.
Ca peut paraitre dingue mais en fait pas tant que ca, parce que en reflechissant, c'est plutot banal
de croiser un dalmatien dans son pays d'origine la Dalmatie (la Dalmatie c'est la region de la Croatie qu'on a traverse).
C'est aussi plutot banal de voir des cravates au pays des cravates (si vous trouvez que le mot Cravate ressemble au mot Croate, ce n'est pas par hasard, au depart, les cravates s'appelaient des "a la croate" parce que les premieres cravates que les Francais ont vues c'etait sur le cou des Croates qui etaient venus en France rendre visite a la Cour de Versailles en 1635 !).
Quand a manger un Banana Split, quoi de plus normal quand on se promene dans une ville qui s'appelle Split.
Alors, autant faire des combinaisons avec toutes ces normalites croates pour en faire des souvenirs, comme l'a fait notre copain dalmatien.
Apres la ville de Split, on a traverse quelques autres villes tres tristes parce que vides et plus ou moins demolies par la guerre qui etait arrivee ici aussi. Mais pour retrouver le moral et mediter un peu, on a ete ecoute la mer jouer de l'Orgue a Zadar (on dirait des escaliers pour descendre dans les vagues mais en fait, ce sont des orgues marines, jouees par le vent et l'eau).
Et en parlant de vent, a partir de la, on ne l'a plus quitte parce que apres on est alle sur l'ile de Pag ou la Bora souffle terriblement fort. Encore un peu et nos drapeaux touchaient le sol ! Mais c'etait tellement beau qu'on ne lui en veut pas, on a retrouve un peu de nos deserts...
Puis on a aussi vu plein de velos voyageurs et on s'est rappele qu'au Maroc, on en revait tellement
qu'on en avait des mirages, tant on etait seul sur les routes, et on s'est dit que les temps ont bien
change... Par exemple, on a rencontre Ian, expert en errance (c'est ecrit sur sa carte de visite) et
ecossais philosophe-indien qui avant d'etre un velo voyageur etait un chien de traineau en Antarctique. On a aussi pedale avec une troupe de cyclistes St- Chamonais qui sont repartis avec nos habits d'hiver et surtout, quand meme, le top du top de nos rencontres cyclistes, c'est que devinez qui on a retrouve ???
Keichi !!! Notre copain japonais sur son velo sans freins et sans vitesses. Et on a decouvert qu'il avait vraiment des talents de magicien parce que il a reussi a faire apparaitre... une japonaise ! Toute fraiche tombee du ciel avec ses valises, seduite par un tour de passe passe et vlatipa qu'elle s'est trouvee un velo et un porte bagage pour mettre un terme a la solitude de son compatriote.
Et donc, les deux la, on les reverra bientot avec des sieges bebe remplis !!!
En attendant, il nous reste encore a vous raconter Sibenik parce que cette ville la aussi, c'etait quelque chose.
La mer, c'est pas mal non plus, mais n'empeche quand meme que Nicolas s'est fait piquer par un oursin au talon et maintenant il a encore plein d'epines enfoncees dans le pied.
Mais on a vu d'autres choses incroyables:
par exemple, on a vu un dalmatien avec une cravate qui mangeait un Banana Split.
Ca peut paraitre dingue mais en fait pas tant que ca, parce que en reflechissant, c'est plutot banal
de croiser un dalmatien dans son pays d'origine la Dalmatie (la Dalmatie c'est la region de la Croatie qu'on a traverse).
C'est aussi plutot banal de voir des cravates au pays des cravates (si vous trouvez que le mot Cravate ressemble au mot Croate, ce n'est pas par hasard, au depart, les cravates s'appelaient des "a la croate" parce que les premieres cravates que les Francais ont vues c'etait sur le cou des Croates qui etaient venus en France rendre visite a la Cour de Versailles en 1635 !).
Quand a manger un Banana Split, quoi de plus normal quand on se promene dans une ville qui s'appelle Split.
Alors, autant faire des combinaisons avec toutes ces normalites croates pour en faire des souvenirs, comme l'a fait notre copain dalmatien.
Apres la ville de Split, on a traverse quelques autres villes tres tristes parce que vides et plus ou moins demolies par la guerre qui etait arrivee ici aussi. Mais pour retrouver le moral et mediter un peu, on a ete ecoute la mer jouer de l'Orgue a Zadar (on dirait des escaliers pour descendre dans les vagues mais en fait, ce sont des orgues marines, jouees par le vent et l'eau).
Et en parlant de vent, a partir de la, on ne l'a plus quitte parce que apres on est alle sur l'ile de Pag ou la Bora souffle terriblement fort. Encore un peu et nos drapeaux touchaient le sol ! Mais c'etait tellement beau qu'on ne lui en veut pas, on a retrouve un peu de nos deserts...
Puis on a aussi vu plein de velos voyageurs et on s'est rappele qu'au Maroc, on en revait tellement
qu'on en avait des mirages, tant on etait seul sur les routes, et on s'est dit que les temps ont bien
change... Par exemple, on a rencontre Ian, expert en errance (c'est ecrit sur sa carte de visite) et
ecossais philosophe-indien qui avant d'etre un velo voyageur etait un chien de traineau en Antarctique. On a aussi pedale avec une troupe de cyclistes St- Chamonais qui sont repartis avec nos habits d'hiver et surtout, quand meme, le top du top de nos rencontres cyclistes, c'est que devinez qui on a retrouve ???
Keichi !!! Notre copain japonais sur son velo sans freins et sans vitesses. Et on a decouvert qu'il avait vraiment des talents de magicien parce que il a reussi a faire apparaitre... une japonaise ! Toute fraiche tombee du ciel avec ses valises, seduite par un tour de passe passe et vlatipa qu'elle s'est trouvee un velo et un porte bagage pour mettre un terme a la solitude de son compatriote.
Et donc, les deux la, on les reverra bientot avec des sieges bebe remplis !!!
En attendant, il nous reste encore a vous raconter Sibenik parce que cette ville la aussi, c'etait quelque chose.